Acteur ou concepteur de la prévention contre le COVID-19
Formation réglementaire d’acteur prévention contre les maladies infectieuses due à un coronavirus, conception de procédure de prévention COVID
Speed Ready
Votre projet de formation est rapidement mis en oeuvre. En moyenne 5 jours nous sont nécessaires pour adapter et planifier votre formation.
Sur-mesure
Des formations adaptées et optimisées en temps et ciblées sur les compétences métiers. Devenir opérationnel plus vite et réduire les coûts de formation.
Certifications
Se former c’est bien. Faire valider et reconnaître ses compétences avec une certification métiers ou certificat de compétence, un titre professionnel, c’est mieux.
Modalités adaptées
Des modalités de formations pour s’adapter à vos contraintes : présentiel dans vos locaux ou les nôtres (PARIS et Lyon), du blender learning, de l’elearning tutoré.
Établir le contexte
Déterminer le domaine sur lequel on va travailler, ainsi que ses enjeux. De l’établissement du champ d’action découle ensuite la définition des critères clés pour analyser les risques : « Il pourra s’agir par exemple des délais, des coûts, de l’environnement, de la qualité ou encore de la sécurité… »
2-Apprécier les risques
Vient ensuite la phase d’appréciation des risques, « une étape cruciale, insiste Pascal Depeint, qui demande tout d’abord d’identifier les sources (les origines possibles des risques) ainsi que les événements pouvant se produire. » Par exemple, les ressources humaines sont une source de risque pour le lancement d’un nouveau projet, et l’événement peut être l’indisponibilité de ces ressources pour certaines tâches. « Il sera temps après d’analyser les causes pouvant engendrer le risque et leur impact sur les critères clés identifiés en amont. » Dans notre exemple, il faudra ainsi se demander ce qui fait que l’on manque de ressources. Quant aux conséquences, elles pourront notamment se traduire par un retard sur la livraison du projet. Pour bien apprécier les risques, il est encore nécessaire de définir une échelle de criticité permettant d’évaluer si ces derniers sont acceptables, à surveiller, ou s’ils supposent des actions de fond.
3-Traiter les risques
« En fonction du degré de criticité, plusieurs actions sont possibles, indique le consultant formateur. Ainsi, le risque peut être considéré comme acceptable, ou encore à surveiller en prévoyant un éventuel « plan B ». Si le risque est élevé, il sera alors nécessaire de mettre en place des actions pour le réduire ou l’éliminer. » On pourra, par exemple, choisir de multiplier par deux les ressources avant le lancement du projet ou encore d’allonger ses délais de réalisation.
Tout au long des trois étapes de ce processus, il est aussi primordial d’assurer un pilotage intégrant une surveillance constante des risques « avec des points réguliers pour déterminer s’ils sont toujours d’actualité, si le plan d’action doit être revu… » Ce pilotage doit également comprendre une capitalisation faite des retours d’expérience afin d’affiner l’évaluation, l’identification et l’analyse des risques. « Communiquer et concerter régulièrement les acteurs concernés, est aussi nécessaire pour les impliquer et s’assurer de créer une véritable culture du risque. »
PRÉVENTIONRestez chez vous
COUDE.Toussez dedans
VISAGE.Évitez de le toucher
DISTANCES.Gardez-les
MAINS.Lavez-les souvent
Il incombe à l’employeur dans la situation actuelle de :
- procéder à l’évaluation des risques encourus sur les lieux de travail qui ne peuvent être évités en fonction de la nature du travail à effectuer ;
- déterminer, en fonction de cette évaluation les mesures de prévention les plus pertinentes ;
- associer les représentants du personnel à ce travail ;
- solliciter lorsque cela est possible le service de médecine du travail qui a pour mission de conseiller les employeurs, les travailleurs et leurs représentants et, à ce titre, de préconiser toute information utile sur les mesures de protection efficaces, la mise en œuvre des « gestes barrière » ;
- respecter et faire respecter les gestes barrière recommandés par les autorités sanitaires.
Le Code du Travail impose aux chefs d’établissements, qu’ils soient publics ou privés, d’évaluer les risques liés à la santé et à la sécurité des travailleurs puis de transcrire les résultats au sein d’un Document Unique. Les risques sont divers et leur transcription au sein d’un seul document peut être une démarche complexe.
Notre offre
Richard Formation vous propose une offre adaptée à vos enjeux et à votre organisation pour évaluer les risques liés à la santé et à la sécurité de vos salariés ou agents au sein de votre établissement :
Assistance à l’élaboration du Document Unique d’évaluation des risques professionnels
- Mise en œuvre d’une méthodologie d’évaluation des risques objective et conforme aux dernières exigences réglementaires
- Définition des unités de travail
- Visite du site permettant d’identifier les dangers, mesurer les conditions d’exposition du personnel et recueillir les mesures de prévention mises en place pour réduire les risques (collectives, organisationnelles, individuelles),
- Identification des dangers nécessitant des évaluations spécifiques définies par la réglementation (ATEX, RPS, Pénibilité, Risque chimique, Champs Électromagnétiques),
- Proposition d’unités de travail, mise en œuvre d’une méthodologie d’évaluation des risques objective et conforme aux dernières exigences réglementaires,
- Identification des dangers nécessitant des évaluations spécifiques définies par la réglementation (ATEX, RPS, Pénibilité, Risque chimique),
- Proposition d’actions de prévention/protection pour les principales situation à risques identifiées
- Établissement d’un projet de Document Unique
Mise à jour annuelle de votre Document Unique
- Visite des sites/établissements ;
- Mise à jour de l’évaluation des risques, de la hiérarchisation des situations à risques et des actions de prévention/protection.
La consommation d’un aliment mal lavé ou mal conservé peut entraîner un risque grave pour la santé. Comment l’éviter ? En respectant, dans la mesure du possible, quelques principes d’hygiène élémentaires.
Les aliments peuvent parfois présenter des risques sanitaires si les conditions de culture, d’élevage, de production ou de conservation sont mauvaises.
Les réglementations européennes et nationales imposent des obligations aux exploitants du secteur alimentaire afin d’assurer la sécurité et la salubrité des denrées alimentaires à toutes les étapes de leur production, transformation et distribution.
Du côté des consommateurs, il est aussi important de les informer et de les sensibiliser sur les bonnes pratiques d’hygiène, permettant de garantir l’innocuité des aliments qu’ils vont consommer.
Quels sont les risques ?
La consommation d’un aliment contaminé par des bactéries ou par des toxines élaborées par celles-ci est à l’origine d’intoxications alimentaires.
Les intoxications alimentaires d’origine bactérienne résultent souvent d’une maîtrise insuffisante des conditions d’hygiène notamment au cours de la production, de la transformation et de la distribution des denrées.
Les symptômes de ces intoxications sont souvent identiques (douleurs abdominales, diarrhées, nausées, vomissements, maux de tête, fièvre, etc.) et apparaissent plus ou moins rapidement après l’ingestion d’aliments.
Les victimes de ces intoxications guérissent rapidement mais lorsque les conditions de conservation et d’hygiène ont été particulièrement mauvaises, certaines intoxications peuvent être très graves en particulier chez les sujets fragiles ou affaiblis tels que les nourrissons, les femmes enceintes, les personnes âgées ou les sujets immunodéprimés.
Dans le cas où il apparaît au moins deux cas groupés similaires d’une symptomatologie, en général gastro-intestinale, dont on peut rapporter la cause à une même origine alimentaire, on parle alors de Toxi-infection alimentaire collective (TIAC).
Les agents pathogènes les plus souvent rencontrés dans les TIAC sont les bactéries suivantes : Bacillus cereus, Campylobacter spp., Clostridium botulinum, Clostridium perfringens, Salmonella spp., Staphylococcus aureus, E. coli, Listeria monocytogènes. On retrouve aussi certains virus comme les norovirus.
Que faire en cas de doute ?
En cas de doute sur la nourriture ingérée et surtout si deux personnes ou plus présentent les mêmes symptômes, il faut consulter un médecin.
Les toxi-infections alimentaires collectives doivent être déclarées obligatoirement aux services chargés de la santé par les médecins.
Les agents de la Direction de la protection des populations (DDPP) concernée peuvent être également sollicités afin de procéder au contrôle des produits et de l’hygiène des locaux de fabrication ou de préparation des aliments. Ils prennent, en liaison avec le médecin inspecteur de la santé, les mesures adaptées.
Conseils de prévention
Lors de l’achat de denrées microbiologiquement très périssables préemballées au rayon des produits frais, le consommateur doit vérifier les dates limites de consommation (DLC) et les dates de durabilité minimale (DDM) et les températures d’entreposage indiquées sur leurs emballages afin de les respecter.
Pour les aliments très périssables, fabriqués par des artisans (boucher, charcutier, etc.), à domicile ou encore vendus au détail ou à la coupe dans les grandes et moyennes surfaces (GMS), il convient de les conserver à une température maximum de + 4° C pendant une durée maximum de 3 jours.
Il est également important de transporter les aliments dans de bonnes conditions, sans laisser les produits frais exposés à température ambiante pendant une période trop longue (dans les coffres de voitures par exemple). En particulier, les produits surgelés et congelés doivent être achetés en dernier, mis dans des sacs isothermes et placés rapidement au congélateur ou préparés immédiatement.
En outre, il faut respecter les conseils de préparation et de décongélation mentionnés sur l’étiquette, et ne jamais recongeler un produit qui aurait été décongelé volontairement ou accidentellement.
Lors de la préparation de conserves familiales, il est nécessaire de respecter les barèmes de stérilisation (temps-température) indiqués sur les notices d’utilisation des autocuiseurs (cocottes minutes) afin d’éviter une intoxication par ingestion de la toxine botulique. Il faut aussi proscrire la consommation de denrées alimentaires contenues dans des conserves bombées, rouillées, dont les sertis seraient endommagés ou dégageant une odeur suspecte à l’ouverture.
Il est important de veiller à la propreté des plans de travail, des ustensiles et des mains lors de la préparation des aliments, et de nettoyer périodiquement (dès qu’il y a souillure) le réfrigérateur.
Richard formation répond à l’ensemble des critères du décret qualité des formations (décret n°2015-790 du 30 juin 2015).
- L’identification précise des objectifs de la formation et son adaptation au public formé ;
- L’adaptation des dispositifs d’accueil, de suivi pédagogique et d’évaluation aux publics de stagiaires ;
- L’adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement à l’offre de formation ;
- La qualification professionnelle et la formation continue des personnes chargées des formations ;
- Les conditions d’informations du public sur l’offre de formation, ses délais d’accès et les résultats obtenus ;
- La prise en compte des appréciations rendues par les stagiaires.
Toutes nos formations sont construites en fonction des besoins particuliers de votre entreprise.
Chaque formation est construite autour du concept de la pédagogie de l’approche par compétence (APC) et animée par la méthode de la pédagogie explicite et du rythme ternaire.
C’est-à-dire que chaque module comprend au moins : une activité contextualisation suivie d’une activité de décontextualisation puis d’une évaluation formative sous la forme d’une recontextualisation.
Les apprenants sont au cœur de la formation, le formateur s’appuie sur leur participation et leur expérience pour venir compléter ou corriger les connaissances et les pratiques.
Richard Formation est enregistré en qualité d’organisme de formation sous le N°11788378678 auprès du préfet de région d’Ile de France depuis le 25 juin 2018.
elle s’est spécialisé dans la formation en gestion des risques.
Référencé dans le programme Data-dock courant 2019. (0064404)
Enregistré au Répertoire des Organismes de Formation en Hygiène Alimentaire de la Direction Régionale Interdépartementale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt d’Île-de-France pour la formation en Hygiène Alimentaire (ROFHYA) 11 0751 11 2019
Habilité par l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) pour le dispositif Sauveteur Secouriste du Travail : 1461189/2019/SST-01/0/12
conformément aux RÉFÉRENTIEL NATIONAL D’ACTIVITÉS ET DE COMPÉTENCES